Jean Jacques Rousseau
Rousseau est né à Genève, fils d’un horloger. La maman de Rousseau est morte en couches et son papa a révélé une fascination minime pour lui: le jeune Rousseau a été gardé à Genève lorsque son père a été exilé à Lyon. A quatorze ans Rousseau restant Genève et juste après de nombreux voyages, s’est retrouvé à Turin. Plusieurs années d’itinérance se sont écoulées jusqu’à ce qu’il soit confié aux soins privés d’une Madame de Warens particulière. Il se mit à la lecture et à la recherche et y passa environ huit années jusqu’à acquérir une fonction de secrétaire auprès de l’ambassadeur de France à Venise. Il n’a pas créé son tout premier travail indépendant jusqu’à l’âge de près de quatre décennies, mais est rapidement devenu populaire sur sa newsletter. Il était devenu le premier philosophe français des Lumières, responsable de l’inauguration du mouvement passionné en approche continentale. Malgré ses bons résultats en tant qu’auteur, Rousseau est tombé en aidant à couvrir la plupart des gens qui le connaissaient, comme les catholiques et Mme de Warens, devenue à cette époque sa maîtresse. Il a également abandonné avec les protestants et le gouvernement fédéral français après avoir soumis l’accord interpersonnel. Il a mis fin à ses jours et ses nuits par vous-même dans la pauvreté et le désespoir que vous possédiez. Après s’être disputé avec son ancien ami David Hume en Grande-Bretagne, il a finalement expiré à Paris, se suicidant probablement. En dehors de son partenariat sur l’encyclopédie de Diderot, Rousseau a pour meilleures fonctions ses Confessions, Emile, ainsi que l’Accord Sociable. Le Social Deal est le magnum opus de Rousseau, où il fournit un modèle pour cette culture idéale, contrairement à la météo sociale, gouvernementale et académique moderne qui lui a été reprochée dans son ancien travail, en particulier Emile ainsi que le début des inégalités. Au sein de ces œuvres, Rousseau a affirmé que l’injustice était un résultat direct des établissements qui suppriment la volonté et la capacité naturelles des hommes. Dans le guide suivant, Rousseau présente son idée bien connue du «respectable sauvage», déclarant que «les hommes dans un état de nature ne connaissent pas l’excellent et le mal, seulement leur indépendance», qui en plus de «la tranquillité des passions» , ainsi que leur ignorance du vice, les empêchent de faire le mal ». La volonté générale, nous informe Rousseau, sera la volonté de tous les individus transmis à leurs activités typiques et devrait être comprise comme unique de «la volonté de tous», qui est simplement l’agrégat de volontés personnelles égocentriques. « Chaque peuple place sa personne particulière et toutes ses énergies en commun sous le cours suprême de la volonté générale, et, dans les limites de notre capacité d’entreprise, nous accueillons chaque confrère comme une partie indivisible de l’ensemble ». La volonté globale semble cependant générer une pression qui est certainement supérieure à la quantité de ses éléments. Il existe dans les écrits de Rousseau une recommandation selon laquelle cette volonté générale prend le pas sur une volonté privée, supérieure et supérieure aux individus de la société qui lui donnent de la force. La population a l’obligation d’obéir, ce qui conduit à interpréter Rousseau comme tolérant le totalitarisme. Ce qui manque souvent dans cette compréhension, c’est, premièrement, l’insistance de Rousseau à dire que la démocratie directe qu’il préconise est tout simplement praticable dans les petits États de la région, ainsi que Rousseau prendra comme modèle et idéal les revendications de ville de la Grèce antique. qui étaient parfois connus pour pratiquer exactement ce type de démocratie. Deuxièmement, et c’est en fait la pertinence du petit État-zone, dans la mesure où le souverain peut appliquer des directives sur les individus que l’État dans le titre dans le testament de base, le souverain n’est pas plus que la communauté locale en soi dans son capacité législative et de groupe. En d’autres termes, selon Rousseau, il ne peut y avoir de disharmonie impliquant les passions du souverain et aussi les poursuites des individus, car par définition, le premier type se constitue par le biais de ce dernier. Néanmoins, il ne faut pas oublier que vous pouvez trouver de graves tensions dans la notion d’accord social de Rousseau. Rousseau ne sera pas beaucoup l’idéaliste qu’il ne reconnaîtra pas, il y aura des occasions où la volonté d’un individu ira de pair avec la volonté générale. Dans de tels cas, il n’y a pas de compromis: l’individu doit être contraint de se conformer, ou peut-être dans les mots concis de Rousseau, mais plutôt effrayants: «Cela signifie absolument rien de moins qu’il sera contraint d’être libre».